Bienvenue dans ce 4e épisode du podcast « Des livres pour cheminer » !
Des livres pour cheminer – un podcast sur la bibliothérapie :
Interview de Lionel Aobdia, bibliothérapeute français
Après l’interview de Katy Roy, je vous propose aujourd’hui de rencontrer Lionel Aobdia, bibliothérapeute installé dans le Pays basque. Il nous présente son approche personnelle de la bibliothérapie : la bibliothérapie intuitive !
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Interview de Lionel Aobdia, bibliothérapeute : version texte du podcast
Bonjour, c’est Aline du site Des livres pour cheminer, et bienvenue dans le quatrième épisode de ce podcast !
Dans le dernier épisode, nous sommes partis à la rencontre de Katy Roy et de sa bibliothérapie imaginale. Aujourd’hui, je vous propose de continuer notre tour d’horizon des différentes approches de la bibliothérapie avec Lionel Aobdia qui nous parle de la bibliothérapie intuitive.
Lionel, c’est la personne avec qui j’ai fait ma première formation sur la bibliothérapie et, du coup, ça me tenait vraiment à cœur de lui donner la parole.
Aline : Bonjour Lionel, merci beaucoup d’avoir accepté mon invitation pour cette interview !
Lionel Aobdia : Bonjour Aline ! Avec grand plaisir.
Aline : Est-ce que tu peux te présenter en quelques mots pour commencer.
Lionel Aobdia : Oui, je suis Lionel Aobdia et je pratique la bibliothérapie depuis 2014, quand je me suis formé.
Aline : D’accord. Du coup, en 2014, la bibliothérapie était encore moins connue qu’aujourd’hui, comment est-ce que tu as rencontré cette discipline ?
Lionel Aobdia : Par hasard ! Paul Eluard dit toujours « il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous ». Je cherchais plutôt un atelier ou un séminaire d’écriture, et je suis tombé sur la bibliothérapie qui ne me parlait pas du tout. Je ne connaissais pas le mot. Après des recherches sur Google, j’ai vu en quelques mots ce qu’était la bibliothérapie et je me suis dit « c’est génial, j’ai toujours fait ça toute ma vie ! » Trouver le bon livre pour la bonne personne, je veux explorer ça. Voilà, et je me suis engagé dans cette voie par étapes. Mais je me suis engagé en 2014.
Aline : D’accord, super. Comment est-ce que tu t’es formé ? Parce qu’on est d’accord, en ce qui concerne la bibliothérapie, il n’y a pas encore de formation officielle. Il y a quelques personnes qui proposent des formations de manière individuelle. Donc comment est-ce que tu as fait pour te former ?
Lionel Aobdia : Alors je me suis formé auprès de Régine Detambel qui était, on va dire, une pionnière en France de la bibliothérapie, dans ce qu’on pourrait appeler la vulgarisation de la bibliothérapie. Marc-Alain Ouaknin avait écrit en 1993 « Bibliothérapie, lire c’est guérir », mais Régine Detambel a lancé des formations, des initiations. Donc j’ai suivi Régine Detambel. Après, j’ai trouvé qu’il manquait pas mal de choses, donc j’ai pioché dans des compétences que j’avais eues dans le passé, comme travailleur social. J’ai fait des ateliers, des formations, surtout sur les postures de l’accompagnement. Parce qu’en fait, en bibliothérapie, en littérature, j’avais le bagage que j’avais. Je souhaitais continuer à travailler comme ça. Mais c’est vraiment dans le métier de l’accompagnement que je trouvais que ça pêchait pour moi, même si j’avais une formation de travailleur social, même si j’avais fait des formations plutôt commerciales. Mais j’avais une expérience de la formation, voilà.
Aline : Donc c’est vraiment important, en plus d’une formation en bibliothérapie, finalement, d’avoir une formation dans quelque chose qui a une relation avec l’humain, avec l’écoute, avec l’accompagnement ?
Lionel Aobdia : Complètement. C’est comme ça d’ailleurs que j’ai construit les formations que je propose, en mettant tout ce qui m’avais manqué. J’ai essayé de faire une boîte à outils, notamment surtout pour les premiers temps, les outils pour accompagner, les ressources, la communication, le statut, toutes ces choses-là. Toutes ces choses-là, au-delà du livre au sens général du terme. Toutes ces choses d’accompagnement qui, à mon sens, sont aussi primordiales que la culture livresque, évidemment. Tout ce qui était la déontologie, tout ce qui était l’éthique, c’est des choses qui pour moi m’avait manquées quand je me suis formé. Dans la mesure où j’avais des compétences peut-être naturelles et des compétences acquises en ce qui concernait le livre et la bibliothérapie, mais pour en faire une pratique au quotidien, pour moi, il manquait des choses qui évidemment se trouvent en cherchant et par l’expérience.
Aline : Alors, si tu devais donner ta définition de la bibliothérapie, quelle serait cette définition ?
Lionel Aobdia : Ah, c’est l’accompagnement par le livre. J’aime beaucoup le mot accompagnement, qui prend son sens aussi. Le mot thérapie a l’étymologie qu’on lui prête maintenant, même si le mot thérapie n’a pas exactement l’étymologie de soin. Mais j’aime beaucoup le mot accompagnement, parce que le livre doit être un éveil. La personne accompagnée doit être prête à entendre les messages du livre que le bibliothérapeute va lui soumettre. Donc, pour moi, on va résumer à « accompagnement par le livre ». Parce qu’il est évident qu’il y a plusieurs formes de bibliothérapie en fonction des sensibilités du bibliothérapeute.
Aline : Alors justement, il y a différentes formes de bibliothérapie, différentes manières de la pratiquer en fonction des richesses de chacun. Donc toi, tu as développé une approche particulière de la bibliothérapie. Est-ce que tu peux nous en parler un petit peu.
Lionel Aobdia : Oui, j’ai appelé ça « bibliothérapie intuitive » dans la mesure où je me suis très tôt intéressé aux écrivains qui avaient des contacts on va dire avec le subtile, comme Victor Hugo ou Chateaubriand ou Edgar Allan Poe. C’est un domaine qui à la fois m’attirait et me faisait peur. Et j’ai eu conscience aussi que l’intuition était quelque chose qui était étudié par les scientifiques, que c’était quelque chose de très sérieux, de très puissant, et ça m’a intéressé de développer ça. J’ai également des capacités médiumniques, je suis médium-voyant. Je ne pratique pas en médiumnité et en voyance pure. Mais dans les métiers de l’accompagnement, j’ai voulu mettre la bibliothérapie aussi dans le panel des outils et ça me permet de délivrer des messages avec des romans.
Aline : D’accord. Et du coup comment est-ce que tu mets ça en pratique dans une séance. Comment est-ce que se passe une séance de bibliothérapie intuitive ?
Lionel Aobdia : Alors moi je reçois les personnes, je peux travailler avec des cartes, je travaille également avec les cartes hébraïques, le tarot des lettres hébraïques, plusieurs tarots même. Il y a des tarots de Marie Elia qui a fait un livre magnifique qui s’appelle « Rencontres avec la splendeur ». Il y a Deepak Chopra, il y a la cabale. Il y a aussi Gérard Athias et Deborah Ouaknin. Gérard Athias qui a beaucoup travaillé sur les maux du corps, en kinésiologie, sur des choses de ce type, qui a sorti un jeu de lettres hébraïques où il y a des états émotionnels qui peuvent être associés aux lettres. Donc je travaille parfois avec un jeu qui permet d’avoir un biais pour ne pas poser des questions aux personnes et pour avoir un outil posé sur la table, pour que les personnes s’ouvrent peut-être davantage. Même si j’ai des messages, de toute façon, et des intuitions, et des canalisations et des guides qui me parlent parfois. Je n’apporte rien qui ne doit pas être entendu. Voilà, donc le mot accompagnement, je le répète encore une fois, a du sens. Donc j’évoque des choses et je vois si elles peuvent être écoutées. J’ai des romans qui me viennent, qui peuvent avoir trait à des choses énergétiques, à des choses qui ne se sont pas encore passées, à des choses qui se sont passées dans le passé mais qui n’ont pas été dépassées. Donc j’échange avec la personne pour voir quelle est la liste que je vais pouvoir fournir concernant la séance de bibliothérapie.
Aline : D’accord. Donc tu parles de romans, est-ce que tu proposes uniquement des romans ou d’autres types de livres ?
Lionel Aobdia : Alors très peu de livres de développement personnel dans la mesure où les personnes qui viennent me voir sont déjà très férues de développement personnel, ont déjà une bonne connaissance des principaux ouvrages. Donc je propose très rarement des livres de développement personnel. Je travaille parfois avec « Les Quatre accords toltèques » de Don Miguel Ruiz, qui permettent un apaisement assez immédiat des personnes qui pourraient être un peu perdues ou en stress. Il y a des petits principes au quotidien à appliquer qui sont basiques, immédiats et d’une efficacité éprouvée. Mais sinon je travaille beaucoup avec le roman. Ce qui permet d’ailleurs d’aller dans des choses du passé, dans de la fiction, dans des vies antérieures pour les personnes qui y croient, mais en toute bienveillance. C’est-à-dire que le roman offre un panel de choix, de messages qui peuvent être entendus, ou pas entendus si ce n’est pas le moment. Donc vraiment j’ai une grande affection pour le roman. De toute façon c’est ce que j’ai le plus lu. Depuis que je suis enfant, je lis des romans. Donc forcément c’est la base de ma bibliothèque. Donc je travaille avec ça. J’ai formé des gens qui travaillent plus avec des livres de développement personnel. J’ai formé une personne qui travaille aussi pas très loin de chez moi, au Pays basque, qui travaille beaucoup sur le féminin sacré, donc des livres sur le développement personnel du féminin. Mais le roman me parle beaucoup. Il y a aussi le côté ludique du roman, il y a aussi le côté riche du roman, il y a aussi le côté joyeux des romans que je peux proposer. Quand on a des changements de vie à mettre en place, rien que le mot développement personnel est un peu rugueux. Le mot travail sur soi, quand on connait l’étymologie du mot travail qui est davantage assimilé à une torture qu’à un élément de vie. Je travaille avec le roman par plaisir, par passion et c’est ce qui me parle plus, et c’est ce qui parle le plus aux personnes qui viennent me voir.
Aline : D’accord. Ensuite, après la séance, tu proposes ces romans à la personne et est-ce que la personne va revenir te voir pour en discuter par la suite ?
Lionel Aobdia : Alors c’est extrêmement variable. Il y a des personnes qui gardent leur liste de lecture et qui avancent elles-mêmes sans faire de retour, des personnes avec qui j’ai des échanges par mail ou par message. C’est variable. Après, je ne suis pas quelqu’un qui a de l’attrait pour les accompagnements lourds. Ça m’est arrivé d’avoir des personnes qui sont suivies en hôpital psychiatrique, de travailler avec. Je donne des livres d’éveil pour proposer des solutions et je laisse les professionnels de la psychologie ou de la psychiatrie avancer. J’envoie aussi des personnes qui vont bien chez des naturopathes parce que je considère qu’il y a des changements de vie qui sont liés à la façon dont on s’alimente et dont on dort, et dont on organise l’hygiène de son quotidien. Donc j’ai peu de gens que j’accompagne de façon régulière. J’ai des gens que j’ai plaisir à accompagner qui viennent me voir régulièrement, mais sinon on ne peut pas dire que j’ai des personnes que je suis de façon suivie.
Aline : Les personnes qui viennent te voir, est-ce qu’elles ont un profil particulier ? Quel genre de personnes est-ce que tu touches ?
Lionel Aobdia : Alors vraiment des personnes en quête d’identité, beaucoup de femmes. C’est un peu commun aux métiers de l’accompagnement. Quand je discute avec des personnes qui sont dans la sophrologie, dans la naturopathie, dans l’hypnose, l’accompagnement ou tous ces métiers d’accompagnement, on a quand même plutôt des femmes qui viennent nous voir. Pour moi, c’est souvent des changements de vie ou des personnes qui refoulent une identité forte qu’on pourrait avoir, qui a été peut-être malmenée par la lignée ou par les époques ou les milieux dans lesquels on a vécu. J’aime bien le mot révélation de potentiel, éveil, éveil à son être profond. C’est des mots qui me parlent. Donc c’est vraiment la plupart des personnes qui viennent me voir. Evidemment j’ai parfois des personnes, on va dire, très académiques dans la littérature qui viennent par amour du livre, et on fait un travail de grande qualité qui est toujours enrichissant pour la personne et pour moi. Mais c’est vrai qu’il y a beaucoup des quêtes d’identité, ou être en paix avec son identité, qui est vraiment le gros de mon travail.
Aline : OK, et est-ce que tu travailles aussi avec des groupes, est-ce que tu propose aussi des ateliers de groupe, ou c’est uniquement du travail individuel ?
Lionel Aobdia : Alors je fais pas mal de conférences où j’explique ce qu’est la bibliothérapie et comment je travaille avec le livre et avec les lettres hébraïques. Parce que les lettres ont une énergie et une vibration, les mots évidemment qui sont composés de lettres encore plus. C’est quelque chose qui me passionne. Donc je fais des conférences sur ce sujet-là. Des ateliers, j’en fait un peu moins, parce qu’on part quand même d’un préconçu sur un groupe homogène. Donc j’en fais un peu moins. Il m’arrive d’en faire avec les enfants, parce que là on ne va pas fouiller des choses individuelles. Voilà, j’en fait parfois aussi quand même, mais j’en fait moins qu’à mes débuts. A mes débuts, je faisais souvent des ateliers. Maintenant je fais ou de l’individuel ou des conférences où j’apporte des éclairages sur les choses qui me sont demandées en conférence.
Aline : Et tu disais que tu formais des personnes. Est-ce que tu peux nous parler un petit peu des formations que tu proposes ?
Lionel Aobdia : Alors je fais des formations à la bibliothérapie intuitive. Il y a des modules : le module « bibliothérapie », le module « accompagnement », le module « ressources et outils », le module « les premiers temps », avec le statut. Donc c’est vraiment une formation que j’ai établie avec les choses qui me faisaient vibrer, qui me parlaient. Et j’avais remarqué des fois chez des personnes qui font de l’accompagnement, que ce soit en naturopathie ou même en médiumnité, des choses qui me dérangeaient quand elles m’exprimaient comment elles travaillaient ou ce qu’elles avaient dit à certaines personnes. Il y avait des choses qui me choquaient parfois. Donc j’ai rédigé les choses qui me paraissaient essentielles dans le respect d’une personne qui irait consulter quelqu’un.
Voilà, ce sont des formations aussi où les personnes qui viennent en formation ont du travail à faire, pour rédiger leur propre charte éthique, leurs valeurs, pour pouvoir travailler en accord avec celles-là. Ce n’est pas parce que moi j’ai ces valeurs et cette charte qu’elle doit être commune aux personnes qui veulent travailler. J’ai formé une personne qui a une très solide expérience livresque de choses plus académiques et qui travaille très bien avec ça. Des personnes qui sont plus ouvertes au subtile ou aux énergies. Voilà, donc ça s’adresse évidemment à tout le monde. Je dis même que la qualité principale d’un candidat doit être l’accompagnement d’humain plutôt que la littérature. Parce qu’on peut toujours compléter des listes de livres défaillantes, enfin qu’on n’aurait pas, si on n’a pas une solution pour un livre. Ça m’est déjà arrivé d’appeler des amis qui sont des grands lecteurs, professionnels du livre, ou même amateurs de livres éclairés, pour dire tiens je cherche un livre qui traite de ce sujet. Moi, ça ne m’était pas venu et on me l’a apporté sur un plateau, le titre. J’avais oublié ce livre. Donc on peut toujours compenser ce manque-là. Mais le manque de sensibilité dans l’accompagnement c’est quand même beaucoup plus difficile à compenser.
Aline : Oui, absolument. Est-ce qu’il y a un autre point que tu aimerais aborder ou que tu aimerais présenter par rapport à ton activité ?
Lionel Aobdia : J’ai vraiment beaucoup de plaisir à faire ce métier, à former des gens. Je pense que toi, comme moi, comme les autres, qui travaillons dans la bibliothérapie, on a une belle page blanche à écrire pour cette discipline qui est très méconnue. Ça reste le combat à mener. C’est de faire connaître l’accompagnement par le livre. Donc moi j’ai beaucoup de plaisir à le faire, à vivre de ça. Je fais des salons de bien-être, je fais des conférences, je fais des ateliers, je me déplace, je forme des gens. C’est toujours très enrichissant cette rencontre. Et puis on se rend compte que même des gens des fois qui viennent me voir et qui disent qu’ils n’aiment pas lire ou qui n’ont pas de goût à la lecture, on trouve le livre qui a un message pour la personne. Alors là il y a une passion de la lecture et c’est merveilleux.
Et évidemment, le bibliothérapeute s’efface derrière le message du livre. C’est quelque chose qui correspond pleinement à ce que je veux faire, c’est-à-dire apporter des messages sans forcément me mettre en avant. Donc je suis vraiment heureux de pratiquer ce beau métier qui a été un métier un petit peu inventé pour la France. Il y avait peu de personnes, il y avait des formations en bibliothérapie qui parlaient de bibliothérapie, mais des personnes qui faisaient de l’accompagnement en séance individuelle, il n’y avait pas quand j’ai commencé. Là, on commence à être quelques-uns et c’est merveilleux.
Aline : Super ! Et pour ceux qui serait intéressés, où est-ce qu’on peut te retrouver ou retrouver les informations sur tes formations justement ?
Lionel Aobdia : Alors j’ai un site internet : www.bibliotherapie.net. Ou sinon on tape Lionel Aobdia, on me trouve facilement sur Internet. J’engage souvent les personnes à m’appeler directement parce que je reçois beaucoup de messages de personnes qui sont curieuses d’avoir des renseignements ou des choses comme ça. Et parfois il n’y a pas de demande claire, donc évidemment je répond aux messages, mais des fois il n’y a pas une demande claire. On peut m’appeler, me poser des questions en direct, il n’y a pas de souci. Quand je suis occupé mon téléphone est coupé et quand je suis disponible mon téléphone est ouvert. Ou sinon par email ou par sms. Mais on peut venir me voir. Et les formations, je les organise régulièrement, au Pays basque, là où je suis et où j’ai mon cabinet, à distance par skype pour les gens qui sont éloignés. Et puis quand il y a un petit groupe, je me déplace avec grand plaisir. Il y a des formations très régulièrement. Parfois c’est tous les deux mois, des fois c’est un peu plus espacé, des fois il y en a deux par mois, c’est vraiment suivant les personnes qui expriment une demande à laquelle je peux répondre.
Aline : D’accord, super, merci beaucoup de nous avoir accordé quelques minutes pour nous parler de ta pratique c’était très intéressant.
Lionel Aobdia : Avec grand plaisir, Aline, et puis bravo pour ce que tu fais, pour ta belle évolution, je suis très fier. Je pense que tu peux être fière de toi, et je suis très fier de ce que tu fais et très fan de la qualité de ce que tu produis sur le livre, sur tes valeurs, je trouve ça vraiment superbe. J’avais eu l’occasion de te le dire en particulier, mais là je profite d’avoir un micro ouvert pour le dire.
Aline : Super, merci beaucoup ! On pourra te retrouver sur ton site, pour les gens qui sont intéressés à en savoir plus et à continuer un peu avec la bibliothérapie.
Lionel Aobdia : Voilà, et sur mon Facebook aussi évidemment où je suis plus régulier : Lionel Aobdia, bibliothérapie et lettres hébraïques. Avec grand plaisir également.
Aline : Parfait ! Merci beaucoup et à une prochaine !
Lionel Aobdia : Avec plaisir, merci à toi !
Voilà, c’est la fin de ce quatrième épisode du podcast Des livres pour cheminer ! J’espère que cette approche particulière de Lionel vous a intéressés. Merci encore de nous avoir écoutés et je vous dis à tout bientôt pour une prochaine interview ! Au revoir !
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Crédit du générique : Ave Marimba Kevin MacLeod (incompetech.com)
Licensed under Creative Commons: By Attribution 3.0 License
http://creativecommons.org/licenses/by/3.0/
Approche très intéressante ! Merci à vous deux pour ce riche échange qui donne vraiment envie de poursuivre dans cette voie !
Merci pour ton retour si positif, Sandrine !